Le CBG : qu’est-ce que c’est ?

Depuis sa découverte en 1940, le CBD n’a cessé de gagner en popularité. Cette substance active du cannabis possède en effet de nombreuses vertus thérapeutiques. Mais savez-vous qu’il existe une autre cannabinoïde qui présente de nombreux intérêts pour l’organisme ? Il s’agit du CBG ou cannabigérol. D’où vient-il ? Qu’est-ce qui le différencie du CBD ? Tout ce qu’il y a à savoir se trouve dans cet article.

Le CBG : tout ce qu’il faut savoir

Tout comme le THC et le CBD, le CBG est aussi une molécule du chanvre. Malgré le fait qu’il ne soit plus populaire que les deux autres, il faut savoir que le cannabigérol est le précurseur des cannabinoïdes. Le CBG provient du CBGA, sa version acide. Pendant la période de développement du cannabis, la totalité du CBGA se transforme en THCA et en CBDA. Lors de la récolte des plantes, il ne reste plus que 1% de CBG. Néanmoins, de nombreuses études ont affirmé que ce dernier présente de nombreux avantages. Tout comme le THC et le CBD, cette molécule a également une grande importance. Si le THC se lie au récepteur CB1 (cerveau), le CBG quant à lui s’associe aux récepteurs CB2 (intestin – système nerveux et tissus conjonctifs).

Les avantages de l’usage du cannabigérol

Tout comme le CBD, le CBG ne provoque pas d’effet psychotrope. On peut donc le consommer légalement. Au début des années 1990, de nombreux chercheurs ont essayé de traiter le glaucome avec du CBG. Lors des essais, le produit a en effet réduit la pression intraoculaire. Il est donc probable que le CBG peut guérir cette maladie. Récemment, des études ont aussi affirmé que le CBG est très efficace pour lutter contre les maladies inflammatoires, notamment celles de l’intestin. Effectivement, la prise de CBF diminue la production d’oxyde nitrique. Il amoindrit de ce fait la colite murine. Enfin, il joue un rôle important dans la lutte contre les maladies neurodégénératives comme la maladie de Huntington.

Injections visages Genève en Suisse

Le traitement par la toxine botulique donne au visage du patient un aspect plus détendu sans perte d'expression. Ce résultat est obtenu grâce à une ou plusieurs injections dans des zones bien ciblées du visage. La toxine botulique est une protéine produite par une bactérie appelée Clostridium botulinum. La toxine botulique est apparue dans le domaine médical en 1980. En 1989, la Food and Drug Administration (FDA) l'a officiellement approuvé. La médecine esthétique, quant à elle, l'a officiellement approuvée en 2002.

La toxine botulique ou Botox (dans le domaine médical) agit sur le tiers supérieur du visage au niveau de certaines bandes musculaires, permet l'atténuation des rides glabellaires, frontales et périoculaires sans altérer l'expressivité et la physionomie naturelle du visage.

COMMENT LE BOTOX  EST-IL UTILISÉ EN MÉDECINE ESTHÉTIQUE ?

En micro-injections selon des protocoles programmés et préalablement étudiés par des médecins spécialisés.

EXISTE-T-IL DES CONTRE-INDICATIONS AU TRAITEMENT PAR LE BOTULINUM ?

L'utilisation de Botulinum n'est pas recommandée dans les cas suivants

  • la grossesse et l'allaitement
  • utilisation de médicaments qui interfèrent avec la transmission neuromusculaire (par exemple, les antibiotiques de type aminoglysine)
  • allergie à l'albumine
  • des lésions cutanées dans la zone affectée
  • infections cutanées
  • un traitement chirurgical récent
  • les pathologies de la plaque neuromusculaire.

QUEL TYPE D'ANESTHÉSIE EST UTILISÉ ?

Le traitement ne nécessite aucun type d'anesthésie car il est pratiquement indolore.

OÙ SONT FAITES LES INJECTIONS ?

Les injections sont réalisées à l'intérieur des muscles mimétiques et ne laissent aucune trace visible, à l'exception d'une légère rougeur temporaire qui disparaît dans les minutes qui suivent.

Tout d'abord, soyons clairs : la toxine botulique est un médicament !

Il s'agit d'un produit thérapeutique et, en tant que tel, il doit être utilisé EXCLUSIVEMENT par des médecins qui connaissent ses caractéristiques et la manière de l'administrer.

Alors si c'est un médicament, pourquoi l'appelle-t-on une toxine ?

L'histoire du Botox remonte à loin. Au début des années 1800 (il y a plus de 200 ans), un médecin allemand a isolé cette protéine chez des patients souffrant d'intoxication causée par des aliments mal conservés (viande et autres).
On a découvert par la suite qu'une bactérie (Chlostridium botulinum) était responsable de la production de cette toxine.
Au milieu des années 1940, des travaux ont commencé à purifier cette protéine, la rendant totalement inoffensive pour l'homme et potentiellement utilisable à des fins médicales.

La toxine botulique a donc été développée comme médicament, mais pour quelles maladies ? N'est-il pas utilisé pour éliminer les rides ?

Peu de gens savent que la toxine botulique ou Botox, avant d'être un pilier de la médecine esthétique, était une option thérapeutique pour des centaines de maladies.
Ses domaines d'utilisation vont des troubles neuromusculaires au traitement de la douleur chronique, du traitement de la spasticité chronique aux troubles oculaires (dont le strabisme, pour lequel le Botox a joué un rôle fondamental dans l'histoire et l'évolution des patients qui en souffrent), du traitement des maux de tête à celui de la rosacée, des chéloïdes, des cicatrices hypertrophiques et de l'alopécie (pour ne citer que quelques utilisations de la toxine botulique).
injection anti-rides médecine esthétique Rome

Alors pourquoi la toxine botulique est-elle utilisée en médecine esthétique ?

En fait, la preuve que le botox pourrait être utile pour éliminer les rides est une pure coïncidence !

Pendant les années où la toxine botulique était largement utilisée pour traiter les maux de tête chroniques, on a remarqué que ces patients présentaient une diminution des rides dans la région frontale. C'est là que les injections de toxine botulique pour la migraine avaient été faites.

Cela a ouvert un scénario merveilleux et complètement différent pour l'utilisation du botulisme, qui a commencé à être utilisé de plus en plus pour réduire les rides, jusqu'à devenir aujourd'hui le traitement le plus populaire auprès des patients du monde entier.

D'accord, je comprends. Mais qui peut dire que le Botox ne me fera pas de mal de toute façon ?

Simple. La science nous le dit !
Les doses avec lesquelles le Botox est utilisé en médecine esthétique sont environ cinquante (50 !!) fois inférieures à une dose potentiellement dangereuse. L'insuline est utilisée à des doses trois fois inférieures aux doses dangereuses.
Tous les médicaments ont des effets toxiques potentiels, mais cela dépend toujours des doses dans lesquelles ils sont administrés !

Alors comment puis-je rester en sécurité ?

Il n'y a qu'une seule réponse à cette question : consultez un médecin sérieux et qualifié !
Et ce conseil s'applique à toutes les branches de la médecine.
La clé de la tranquillité d'esprit pour tout patient est de demander conseil à un médecin qui connaît son domaine, les médicaments qu'il utilise, les dosages, les techniques, l'anatomie et les effets secondaires possibles.

Mais pour ce faire, il faut aussi que le médecin ait la possibilité (je dirais même le devoir !) d'examiner les patients, en prenant tout le temps nécessaire pour comprendre leurs besoins et proposer le plan de traitement le plus approprié.
L'examen médical préliminaire est fondamental tant pour le médecin que pour le patient. Il sert à écouter les besoins du patient et à rechercher ensemble le meilleur traitement. On ne tape pas botox Genève par hasard sur google ! La clinique Aesthetics de Genève nous propose gratuitement cet article !

Alors, comment la toxine botulique est-elle utilisée en médecine esthétique ?

Une petite prémisse s'impose : toutes les rides du visage ne sont pas les mêmes. Certaines d'entre elles sont dues à la contraction de muscles spécifiques qui déterminent notre capacité de mimétisme et notre expressivité. Les rides qui en résultent sont donc appelées rides d'EXPRESSION et sont représentées par :

  1. RIDES FRONTALES
  2. Rides GLABELLAIRES (entre les sourcils)
  3. Rides périoculaires (les "pattes d'oie")

En médecine esthétique, l'utilisation du Botox permet donc une neuromodulation des muscles mimétiques du visage. De cette façon, il est possible de choisir les muscles à détendre.
Le résultat est alors l'éclaircissement jusqu'à la disparition des rides que la contraction de ces muscles détermine.

Le Botox peut-il être utilisé uniquement pour les rides d'expression ? Ou y a-t-il d'autres utilisations ?

Le Botox est un médicament merveilleux également en raison de son extrême polyvalence. Nous avons déjà vu combien les domaines d'application de la médecine sont nombreux.
Dans le domaine de la médecine esthétique, outre sa capacité à atténuer les rides d'expression, le Botox peut être utilisé à diverses fins.

Comment trouver un Gynécologue à Genève ?

L'examen gynécologique est un moment fondamental dans la vie de chaque femme.

La première visite chez le gynécologue peut être embarrassante et effrayante, mais en réalité elle doit être abordée en toute sérénité. En effet, il vous permet de vérifier l'état de santé de l'appareil génital féminin de manière simple, sûre et indolore.

La visite ne doit pas être considérée uniquement comme un moment pour prévenir ou résoudre un problème. La visite chez le gynécologue est également une occasion importante de parler des problèmes liés à la sphère sexuelle et reproductive à un expert capable de donner les bons conseils.

 
QUI EST LE GYNÉCOLOGUE

Le gynécologue est un médecin spécialisé qui s'occupe de la santé des organes génitaux féminins.

En effet, il évalue s'il existe des troubles liés aux organes génitaux externes, vagin et vulve, et aux organes génitaux internes, utérus et ovaires. Il vérifie également les seins.

Le gynécologue s'occupe de

    le diagnostic et le traitement des irrégularités du cycle menstruel
    diagnostic et traitement des troubles vaginaux
    diagnostic et traitement des infections vaginales
    examen des seins

En outre

    offre des conseils sur l'utilisation de contraceptifs pour éviter les grossesses non désirées.
    aide le couple à faire face et à résoudre les problèmes de fertilité
    donne des conseils sur la manière de prévenir le risque de contracter des maladies sexuellement transmissibles.
    répond à toutes les questions que vous pouvez vous poser sur votre sphère intime et sexuelle.

 

Le gynécologue est donc une figure de référence pour chaque femme, depuis le début de sa vie d'enfant jusqu'à la ménopause et au-delà.

Vous pouvez vous adresser à lui non seulement en présence de troubles qui peuvent être temporaires et légers ou plus graves, mais aussi pour aborder la sexualité de manière informée et sereine.

 

 

QUAND EFFECTUER LE PREMIER EXAMEN GYNÉCOLOGIQUE ?

Il n'y a pas d'âge fixe pour subir le premier examen gynécologique.

Idéalement, en l'absence de troubles spécifiques, le premier examen devrait avoir lieu après le premier rapport sexuel.

Même si vous êtes sûre de ne pas être enceinte ou de ne pas avoir de problèmes, il est conseillé de faire contrôler vos organes génitaux, externes et internes, afin d'éviter tout problème futur.

 
AVANT LE DÉBUT DE L'ACTIVITÉ SEXUELLE
ÂGE DE L'ADOLESCENT

En présence de troubles, une jeune fille peut consulter le gynécologue avant même le début de l'activité sexuelle.

Les raisons courantes pour lesquelles de nombreuses jeunes filles consultent un gynécologue avant même d'avoir des rapports sexuels sont de fortes douleurs menstruelles et l'irrégularité du cycle. Ces problèmes doivent être traités immédiatement pour éviter qu'ils ne réduisent la qualité de vie de la femme pendant plusieurs jours chaque mois et pour éviter qu'ils ne s'aggravent à l'avenir.

Certains parents décident d'accompagner leurs filles chez le gynécologue après la ménarche, c'est-à-dire après l'apparition du premier cycle menstruel, également simplement pour sensibiliser et éduquer les filles sur les aspects fondamentaux de la vie sexuelle et reproductive ou pour prévenir les problèmes de nature inflammatoire, qui peuvent affecter les filles dans la phase d'adolescence.

À cette période, en effet, les défenses immunitaires de la zone génitale sont plus faibles qu'à l'âge adulte : des altérations du degré d'acidité de la zone vaginale et des allergies aux produits de toilette intime peuvent en être la cause.

Une jeune fille, qui n'a pas encore eu de rapports sexuels, ne doit pas craindre le premier examen gynécologique, tout comme une femme adulte.

L'examen est absolument indolore et peut être réalisé sans échographie interne, qui n'est jamais douloureuse. Si une exploration vaginale est nécessaire, il ne faut pas avoir peur. Le gynécologue a à sa disposition des instruments adaptés aux jeunes, qui ne provoquent pas de douleur et laissent l'hymen intact.

Une jeune fille peut donc se rendre chez le gynécologue à tout moment, même si elle n'a pas encore eu de rapports sexuels.
 
JEUNE AGE

Une puberté précoce ou des symptômes inhabituels, tels que des pertes vaginales anormales ou des douleurs pelviennes qui ne sont pas dues à des problèmes intestinaux ou urinaires, peuvent rendre nécessaire la consultation d'un gynécologue vers l'âge de 10 ans ou plus tôt.

Le gynécologue est capable de mettre l'enfant à l'aise, établissant ainsi une relation de confiance qui pourra se poursuivre à l'avenir. Il est toutefois conseillé à la mère de préparer psychologiquement l'enfant, en lui expliquant de manière simple et générale en quoi consistera la visite.

L'examen gynécologique d'une si petite patiente se fait avec des instruments différents de ceux utilisés pour une femme adulte et est absolument indolore.
 
LE DÉROULEMENT DE L'EXAMEN GYNÉCOLOGIQUE

Le premier examen gynécologique consiste à observer les organes génitaux externes (vagin et vulve) et les organes génitaux internes (utérus et ovaires) pour évaluer leur état de santé.

 

Si la patiente n'a jamais eu de rapports sexuels, l'examen est différent de celui effectué pour une femme adulte. La jeune fille est examinée par palpation de l'abdomen et une échographie externe est réalisée.

Si le gynécologue estime qu'une inspection interne des organes génitaux est nécessaire, il ne faut pas avoir peur. En effet, le gynécologue dispose d'un tout petit instrument (spéculum), qui laisse l'hymen intact.

 

Aucune préparation particulière n'est nécessaire pour passer un examen. La vessie doit être vidée et un lavage normal est suffisant.

Après avoir parlé au gynécologue pour avoir un aperçu de la situation, on demande à la patiente de se déshabiller. Il suffit d'enlever le pantalon et la culotte.

Parfois, le médecin fait peser la patiente, puis l'assoit sur le canapé.

La patiente doit s'allonger sur le ventre sur le divan gynécologique, les jambes reposant sur deux supports latéraux.

Le patient ne doit pas être gêné ni avoir peur. L'examen est absolument indolore.

Le gynécologue examine la patiente, vérifiant d'abord les organes génitaux externes pour détecter toute anomalie anatomique ou inflammation vulvo-vaginale.

Il insère ensuite délicatement un doigt dans le vagin pour en vérifier les parois et, de l'autre main, exerce une légère pression au niveau du pubis. Cette manœuvre permet au gynécologue d'évaluer si l'utérus et les ovaires sont de taille et de surface régulières et s'ils sont douloureux.

Le médecin procède ensuite à l'exploration des organes génitaux internes, à l'aide du spéculum, un instrument utilisé pour maintenir les parois vaginales dilatées, pendant l'examen.

Les parois du vagin sont facilement étirées et l'introduction de l'instrument ne provoque aucune douleur.

Grâce au spéculum, le gynécologue peut évaluer s'il y a des sécrétions particulières, qui indiquent la présence d'infections, et peut observer le col de l'utérus.

Après avoir dilaté les parois vaginales, le médecin insère une sonde transvaginale pour réaliser l'échographie. De cette façon, l'utérus et les ovaires sont photographiés. L'introduction de la sonde est indolore.

Le gynécologue peut également décider d'effectuer un test Pap, un examen indolore qui doit être entrepris après le premier rapport sexuel.

Le test Pap consiste à prélever quelques cellules du col de l'utérus, qui seront ensuite analysées en laboratoire, afin de vérifier la présence d'altérations qui peuvent, si elles sont négligées, dégénérer.

À la fin de l'examen, la patiente étant toujours allongée, le gynécologue vérifie le sein par palpation pour exclure la présence de nodules.

Pendant l'examen gynécologique, le médecin parle à la patiente et lui explique tout ce qu'il fait.

 
CE QUE DEMANDE LE GYNÉCOLOGUE

Lors de la première visite, le gynécologue demande quelques informations afin de dresser un tableau clinique de la patiente.

Principales questions :

    Âge de la patiente lors de la première menstruation.
    Date de la dernière menstruation
    Si le cycle menstruel est régulier ou irrégulier
    Si les menstruations sont abondantes ou douloureuses
    Si le patient a subi une intervention chirurgicale
    Si le patient a des maladies ou si un membre de sa famille a des maladies.
    Si le patient prend des médicaments ou fume
    Si le patient souffre d'une quelconque maladie

Ces questions sont très importantes pour permettre au gynécologue de comprendre le problème de la patiente et d'orienter au mieux la thérapie possible.

 
CE QU'IL FAUT DIRE AU GYNÉCOLOGUE

    Informez le gynécologue qu'il s'agit du premier examen gynécologique. De cette façon, le médecin pourra comprendre la gêne et mettre la patiente à l'aise, en la rassurant sur le déroulement de l'examen.
    Répondez calmement aux questions du gynécologue.
    Demandez au gynécologue tout ce que vous voulez savoir, même sur la sphère sexuelle, sans crainte ni gêne.
    Demandez des explications si vous ne comprenez pas quelque chose, sans crainte.
    Expliquez les troubles éventuels.

 

Augmentation mammaire pourquoi et comment ?

La chirurgie esthétique : un agréable cadeau pour soi.

Tout a commencé plusieurs années après le début de nos activités indépendantes dans le domaine de la chirurgie esthétique, lorsque nous nous sommes demandés ce qui pouvait être fait pour qu'un patient en bonne santé (les patients de la chirurgie esthétique sont considérés comme sains parce qu'ils subissent des opérations qui ne sont pas vitales) puisse vivre son expérience chirurgicale comme quelque chose de non traumatisant, voire… comme un petit cadeau qui serait agréablement répété.

Ce qui décourage souvent les patients de se faire opérer, c'est la peur de tout ce qui les entoure, et en particulier : "Vais-je me réveiller de l'anesthésie ? Est-ce que je vais avoir très mal ? Comment puis-je m'organiser sans déranger ma famille et mes amis pendant mon séjour ? Est-ce que je peux me le permettre ?

 

Augmentation mammaire

L'augmentation mammaire par implants est une intervention de chirurgie esthétique visant à améliorer le volume, la forme et la symétrie des seins, par l'insertion d'implants mammaires.

La chirurgie d'augmentation mammaire est indiquée dans les cas suivants :

  • Hypotrophie mammaire, ou développement faible ou nul de la glande mammaire.
  • Perte de volume ou de tonicité de la poitrine, suite à une grossesse, un allaitement ou une perte de poids.
  • La ptose mammaire, c'est-à-dire l'affaissement des seins et leur déplacement vers le bas, qui peut résulter de facteurs génétiques, du vieillissement ou de la perte de poids (dans ce cas, l'association d'une opération de mastopexie (ou lifting des seins) est également envisagée).
  • Poitrine tubéreuse ou asymétrie mammaire évidente.

EXAMENS PRÉOPÉRATOIRES EN CAS D'AUGMENTATION MAMMAIRE

Les visites préopératoires pour réaliser l'augmentation mammaire sont fondamentales pour l'étude et la planification de la chirurgie d'augmentation mammaire.

La première rencontre consiste principalement en une discussion, au cours de laquelle le chirurgien a l'occasion d'écouter les souhaits et les attentes de la patiente concernant la forme, le volume et la taille de la poitrine et de clarifier ses doutes éventuels. Après un examen minutieux, on évalue la possibilité d'obtenir le résultat demandé par le patient, ainsi que le type de prothèse et la technique chirurgicale la plus appropriée pour y parvenir. L'expérience du chirurgien est fondamentale dans le choix des implants mammaires (forme et taille) et leur positionnement. La position des implants mammaires est définie par le chirurgien en fonction des caractéristiques de chaque patiente : élasticité de la peau, qualité des tissus de recouvrement, proportions entre les épaules et les hanches.

Le chirurgien prescrira des examens préopératoires de routine et, selon le cas, une échographie mammaire ou une mammographie pour écarter les pathologies préexistantes.

PROTHÈSES D'AUGMENTATION MAMMAIRE

Les prothèses d'augmentation mammaire sont constituées d'une enveloppe en silicone qui contient un gel cohésif de silicone ou d'autres substances et peuvent être identifiées par un coupon d'identification remis à la patiente immédiatement après l'intervention de mastoplastie.

    Les prothèses en gel cohésif de silicone sont les plus utilisées et bénéficient d'une expérience clinique telle qu'elle permet de mieux connaître les résultats ultérieurs, tant en termes d'image esthétique que de complications éventuelles.

Le gel cohésif de silicone est un matériau souple et uniforme, avec trois degrés de cohésivité possibles (souple, légèrement dense, très dense), qui agit comme une substance solide permettant d'éviter que, en cas de rupture accidentelle de la prothèse, il y ait migration et dispersion du contenu à l'intérieur de la région mammaire.

D'importantes études sur les implants mammaires en gel de silicone cohésif ont montré qu'il n'existe aucune corrélation entre les implants mammaires et la formation ou le développement de tumeurs mammaires ou de maladies auto-immunes.

    Les implants contenant une solution physiologique, bien que fonctionnels, sont aujourd'hui moins utilisés pour l'augmentation mammaire. Leur caractéristique est qu'ils sont équipés d'un tube de remplissage amovible qui permet au chirurgien de modifier, dans les six mois qui suivent l'opération, la taille des seins de la patiente par le remplissage ou la vidange de la quantité de solution physiologique contenue dans l'implant mammaire. Les inconvénients de ce type de prothèse mammaire sont la consistance moins naturelle que celle des prothèses en gel de silicone cohésif et la tendance à la fuite de liquide, avec pour conséquence une perte progressive du volume mammaire.

    Les implants mammaires contenant de l'hydrogel (eau et une chaîne de sucres) sont moins utilisés car, avec le temps, ils entraînent une variation du volume des seins.

Les implants mammaires pour l'augmentation mammaire se différencient par leur forme, qui peut être

    Ronde : égale en hauteur et en largeur. La prothèse ronde augmente le volume du sein de manière homogène.

    Anatomique ou "en larme" : volume concentré dans le pôle inférieur. La prothèse en forme de goutte est indiquée en cas de seins tombants ou "vidés".

 

 

Liste de sites à voir :

  1. https://www.aesthetics-ge.ch/fr/traitements/chirurgie-des-seins/augmentation-mammaire/
  2. https://www.entourage.ch/fr/technologies/chirurgie-esthetique/augmentation-mammaire/
  3. https://maisontoa.com/traitement/augmentation-mammaire/

Blépharoplastie supérieure Paris

La blépharoplastie des paupières supérieures est l'intervention visant à rendre les paupières plus légères, moins gonflées et à réduire l'effet "rideau" au-dessus des yeux.

La blépharoplastie des paupières supérieures vise à réduire ou à éliminer les excès de peau ou de graisse, qui provoquent un alourdissement inesthétique du regard et, dans les cas les plus graves, entraînent un obscurcissement du champ visuel. Il n'existe pas de cause unique à ce relâchement de la peau : le vieillissement naturel est normalement la principale cause de laxité des tissus, mais elle peut aussi être le résultat d'un traumatisme ou de facteurs héréditaires.

Il existe différents types de blépharoplastie et le choix dépend de l'évaluation de chaque patient et de l'expérience du chirurgien.

Il est très important d'examiner le patient et de prêter attention non seulement aux paupières supérieures, mais aussi à la position du sourcil ; très souvent, la cause d'un excès de peau et donc d'un alourdissement des paupières dépend d'un abaissement du sourcil lui-même (ptose du sourcil), qui pour des raisons de relaxation musculaire abaisse et gonfle les paupières. Cet affaissement peut être unilatéral ou parfois bilatéral.

Chez ces patients, il est nécessaire d'intervenir de manière combinée, c'est-à-dire en relevant le sourcil et en retirant l'excès de peau des paupières supérieures.

La chirurgie des sourcils peut être résolue par voie interne ou externe.

La voie interne s'effectue en insérant un ou deux points de suture dans le sourcil supérieur, ce qui donne la possibilité de pouvoir relever le sourcil d'environ 2 mm. La difficulté de cette intervention chirurgicale est de positionner les points de suture internes de manière à obtenir une symétrie parfaite entre les côtés droit et gauche.

La voie externe consiste à enlever une pastille de peau dans la zone du sourcil et à placer des points de suture internes qui relèvent le sourcil de manière définitive.

Dans le cas d'une blépharoplastie supérieure, une évaluation préopératoire minutieuse est très importante pour retirer une quantité suffisante de peau afin d'alléger la paupière. Aujourd'hui, la chirurgie est beaucoup plus conservatrice que par le passé. La nouvelle tendance consiste à enlever la peau et, dans certains cas seulement, le muscle sous-jacent (muscle orbiculaire).

Dans le passé, la graisse orbitale était également retirée sans problème, mais aujourd'hui, la tendance est d'être moins démolisseur et donc la graisse orbitale n'est retirée que partiellement et sans excès et dans certains cas, une redistribution est effectuée.

Les sutures sont juxtaposées de manière détachée ou parfois une suture continue peut être réalisée et retirée 8/10 jours après l'intervention. L'évolution postopératoire implique un bandage partiel uniquement pour le jour suivant l'opération. L'apparition d'un gonflement des paupières et d'ecchymoses est toujours présente, mais elle dépend beaucoup de l'état général du patient en ce qui concerne les maladies cardiaques, les maladies du sang ou l'hypertension et tout cela disparaît 10/15 jours après l'opération. Le patient peut reprendre son travail après 2 ou 3 jours.

L'intervention est toujours réalisée sous anesthésie locale ou, pour améliorer la tolérance en fonction de la durée, on peut ajouter une sédation légère avec laquelle on ne ressent aucune douleur de l'anesthésie, ni des phases peropératoires et le patient ne se souvient même pas des procédures chirurgicales auxquelles il a été soumis.

La préparation à l'intervention :

Voici quelques-unes des techniques chirurgicales les plus couramment utilisées pour la chirurgie des sourcils :

a) Par voie externe : cette technique consiste à enlever le tissu cutané directement au-dessus du sourcil, ce qui entraîne un déplacement vers le haut de celui-ci et réduit l'excès de peau de la paupière supérieure, ce qui est associé à une blépharoplastie de la paupière supérieure. Cette technique ne comporte qu'un seul risque lié à l'imperfection de la cicatrice, mais cette possibilité est réduite grâce aux nouvelles techniques et aux matériaux de dernière génération utilisés dans le domaine médical.
Une éventuelle cicatrice imparfaite peut être facilement masquée chez les femmes avec une touche de maquillage et chez les hommes elle restera presque invisible car elle sera couverte et masquée par les cheveux.

b) Par voie interne : elle consiste à placer un ou deux points de suture internes à travers la coupe de la blépharoplastie supérieure, fixant les tissus directement au périoste qui recouvre l'os.

La chirurgie des sourcils doit être considérée comme un complément à la blépharoplastie des paupières supérieures uniquement dans le cas où le relâchement ou la présence d'adiposité des paupières supérieures s'accompagne d'un abaissement du sourcil.